La place de l’amélioration de la langue dans les nouveaux cours de littérature
Les vacances sont terminées ; la traditionnellerentrée des classes également. Si la crainte de vous enliser petit à petit dans la routine vous habite, j’ai de bonnes nouvelles pour vous : l’année qui vient permettra difficilement de s’en tenir au statu quo. De multiples éléments nouveaux viendront influencer notre façon d’enseigner la langue, nos approches visant l’amélioration du français. Ainsi, les travaux de la Commission d’évaluation du programme de formation générale, la révision — par chacun des départements de français — des contenus des cours de littérature, la réorganisation des centres d’aide en français, les retombées de la hausse des conditions d’admission au collégial et la nouvelle condition d’obtention du D.E.C. (réussir l’épreuve) fourniront à chacun d’entre nous l’occasion de s’interroger à nouveau sur la place à accorder à l’amélioration de la langue dans les collèges et dans les cours de littérature.
Dans le présent numéro de Correspondance, une entrevue avec Bruce Wallace nous aidera d’abord à mieux comprendre les nouveaux devis des cours de français, langue et littérature, et de saisir la place qui revient à l’amélioration de la langue dans ces cours. André G. Turcotte partagera ensuite avec nous sa réflexion sur la question d’une didactique propre au collégial. Suivront finalement les points de vue de deux enseignants, Joseph A. Soltész et Marie-Josée Dion, à qui nous avons posé la question : Quelle place faites-vous à l’amélioration de la langue lorsque vous enseignez le premier cours de littérature (FRA 101) ?
Bonne lecture !
Abonnez-vous à l’infolettre de Correspondance pour être informé une fois par mois des nouvelles publications